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Chili 2

Un grand MERCI à l'école française de Santiago !!

Du

24/03/06
Au

31/03/06

 

 

Coup de gueule du jour sur les Chiliens !! Nous voici à la frontière à 19h et un demeuré nous demande ce que nous avons dans le coffre de toit.

Sûr de nous, nous lui disons que nous n'avons que des objets que nous ne sortons jamais (ce qui est la vérité : c'est beaucoup trop pénible). Il nous oblige néanmoins à monter ensemble sur le toit pour ouvrir le coffre et Oh! grand bonheur, le douanier tombe sur notre réserve de pétards et feux d'artifices espagnols. Évidemment, il nous dit que le Chili est le seul pays au monde à interdire ces éléments (vendus néanmoins dans tous les super marché du coin). Du tac au tac, Pascal lui demande le texte de loi et le ton monte très vite. Nous décidons de ne pas rentrer au Chili ils sont vraiment trop c.. . Mais malheureusement, le gars n'en démord pas et veut nous mettre une amende. Cela dégénère, mais heureusement en notre faveur car les collègues de "l'hurluberlu" lui disent que nous avons qu'à faire demi-tour. Dégoûtés du nombre de kilomètres de piste de détour que nous avons à faire, nous décidons de passer la nuit à la frontière en espérant que l'équipe sera différente demain !

Autant vous dire que nous avons passé une salle nuit à pester contre ces abrutis !

Au petit matin, Pascal remonte sur le toit pour enlever les pétards et les changer pas des vieux et nous cachons toute la nourriture ... Nous approchons de la douane à peine ouverte et oh horreur, c'est la même équipe que hier soir. Ils ne veulent pas nous parler et demande à Pascal de se référer au chef qui lui accorde le passage uniquement s'il trouve un véhicule qui rapportera les pétard hors du territoire chilien (Pascal a la moutarde qui lui monte au nez, mais il trouvera finalement un sympathique routier et laissera la "marchandise"). Nous avions convenu de tous rester au lit et l'inspection a donc été rapide après cet incident débile. Nous avons pourtant sur le toit un morceau de bois (repéré par les douaniers) totalement interdit, mais comme Pascal n'arrive pas à le défaire, le type nous dit de circuler.

Nous sommes à fleur de peau et tout notre argot y passe !

Il est 10h chilienne (nous avons reculé nos montres d'une heure) et nous nous dirigeons vers les sources thermales d'Aguas Caliente. Nous y petit-déjeunerons et bien sûr, nous tomberons en panne de gaz (vive le Chili !! d'un autre coté, nous n'avions pas changé de bouteille depuis 6 semaines, il fallait bien que ça arrive) puis allons nous baigner dans des eaux à 39° (source à 75°) qui nous permettent enfin de nous détendre de la nuit et de la matinée mal commencées. Nous mangerons sur place accompagnés de musiques et groupes locaux et reprendrons la route dans l'après midi.

thermes à 39°, groupe folklorique, volcan Osorno, dégustation de raisins

(ne jamais promettre des fruits aux enfants !! ils nous coûtent une fortune !!)

Vive le Chili !! Nous arrivons à Villarica (petite ville tranquille). Nous faisons un petit tour de marché et décidons d'offrir pour la première fois à nos enfants le Mc Do. Pendant que nous nous divertissons, nous subissons notre premier cambriolage. Heureusement pour nous, le voleur a du être dérangé et n'a que le temps de briser la vitre de custode coté passager. Il ne pénètrera pas dans le véhicule (nous avons de toute manière une sécurité cadenassée qui l'aurait retenu quelque temps supplémentaire, et de plus nous ne laissons jamais d'argent dedans) : bilan, Pascal ne peut plus se servir du rétro (cause réparation momentanée avec un joli sac plastique) il est ravi !! Heureusement, nous trouverons sans encombre la sortie nord de la ville et nous échapperons dans les heures qui suivent.

Pour raison médicale nous voulons être à Santiago dans 2 semaines (je me suis faite opérée à Santiago et doit faire un bilan avec mon chirurgien) et allons donc poursuivre notre route vers le nord même si pour nous le bilan du Chili c'est à ce jour : la pluie, une panne moteur, un cambriolage, les pires pistes routières, un amas des fils électriques (empêchant de faire de belles photos), moins de chose à voir qu'en Argentine (et aussi moins grandiose), des douaniers tatillons et pénibles (avec un QI proche de celui de la poule), des chiens partout qui hurlent toute les nuits, des prix plus élevés que dans toute l'Amérique du Sud, des gens pas très accueillant en général, une sensation pesante d'être le touriste vache à lait ou arnaqué : "una moneda por favor".

Point positif : wifi

 

Notre vitre est aujourd'hui terriblement bruyante et nous prévoyons de remplacer le sac plastique par du carton. Pascal a téléphoné à Temuco pour commander une vitre, ce qui nous laisse le temps de vadrouiller (pour le moral c'est plus sympa, pour les oreilles c'est un peu plus dur, pour la communication, c'est impossible !)

pour ceux qui ne lisent pas mon espagnol parfait est écrit : "il n'est pas nécessaire de cambrioler, un voleur chilien l'a déjà fait aujourd'hui ! merci". Pascal trouve la phrase provocante ........ moi, pas du tout !

le fameux volcan de Villarica devant lequel nous dormirons

changement nocturne du plastique par un carton, pour 24h à peine, mais c'est vraiment trop bruyant !

Nous dormirons à Pucon face au super volcan Villarica, à coté d'un lac très agréable le Villarica (pas trop dur pour la mémoire!!).

Nous nous offrons des thermes de luxe face au grand volcan fumant. Nous nous baignerons dans différentes piscines aux températures variant entre 33 et 41,5° et nous tenterons le bain de boue. Estéban : le pied, Cléo jusqu'au genou (mais beuuuurk), maman jusqu'aux fesses (mais plus c'est pas possible, y a des morceaux), Pascal jusqu'à la poitrine (il se sent comme un cochon dans sa boue). Nous dormirons devant l'hôtel et partirons au pied du volcan pour contempler les coulées de lave. Quelle frustration de ne pas pouvoir faire l'une des excursions proposées : Rendez-vous en ville à 7h du matin, 45 min de piste, un télésiège, 3h de marche (avec crampons dans la neige et tout et tout) et là, contemplation au sommet, non seulement du paysage somptueux (nous avons un temps superbe en plus) mais en plus de la lave bouillante au coeur du volcan. (nous serons obligés de revenir quand ça ira mieux !!)

super volcan en activité de Villarica

petite pause au bord du lac, garçons heureux, baladounette près d'une cascade, thermes avec vue sur le volcan, ..... sans commentaire !

Difficile pour nous de quitter les lieux, mais la vitre nous attend à Témuco (même si finalement le carton est un excellent isolant phonique).

Nous croisons sur notre route une station COPEC avec le wifi et malgré l'heure tardive (23h en France) nous téléphonons (gratuitement bien sûr) et restons une bonne heure à surfer sur la vague (nous n'utiliserons plus que cela au Chili .... vol....).

L'arrivée à Témuco se fait sans encombre et tombons rapidement sur le garage Peugeot où nous avions commandé la vitre 5 minutes avant la fermeture. Comme nous sommes suivis depuis le début, nous nous retrouvons, certes avec la bonne vitre, mais ici la teinte est de série. Nous aurons donc un petit décalage de coloration entre les deux carreaux, mais bon, c'est mieux que le carton.

 

changement de la vitre, pieds tout neufs (attention, ceux de Cléo clignotent)

Nous patienterons au lendemain pour changer la vitre nous même (pour ne pas se faire rouler sur la main d'oeuvre) et passerons la journée en ville dans un marché Mapuche (sans intérêt, mais les enfants ont besoin de chaussures et nous de remplir le frigo). Nous reprendrons la route dans l'après midi et terminerons la journée au COPEC (avec wifi bien entendu !)

Notre arrivée à Concepcion est très surprenante.

Tout d'abord, nous rencontrons sur la route Zoé, qui me promet de beaux cauchemars à venir. Par contre les garçons sont dans un état d'excitation insupportable et complotent avec leur père pour faire des "farces" à maman (je suis morte de ... peur !!)

voici Zoé, l'araignée, sujet de mes cauchemars.

Nous nous promenons ensuite au bord d'une fort sympathique cacade (qui tombe à nos pieds) et où bien entendu les garçons trouverons des cailloux d'aventure. A leur retour à Pica, les garçons ont une belle surprise de retrouver un papa tout neuf. Pascal c'est rasé pour la première fois depuis 11 mois. Ils lui sautent au coup et lui font de gros câlins tout doux !!

belle cascade .... Ooooooh !!

on t'aurait pas r'connu, d'ailleurs, on t'as pas r'connu

bon je vous le dis ............. c'est Pascal, si, si !!

Puis, je me fais intercepter par un policier car nous sommes mal garé. Avec mon espagnol charmeur, j'explique comme je peux que mon mari va revenir et pour je ne sais quelle raison, ce policier nous prend sous son aile et nous explique tous les risques de la ville, les points d'intérêt et va même jusqu'à nous escorter jusqu'au jardin d'enfants pour que nos bambins se dégourdissent les pattes (et tout ceci sans "una moneda por favor" Nous allons commencer à les aimer ces chiliens si ça continue !). Nous voici en lieu sûr, surveillés par l'un de ses collègues et pourrons donc aller visiter un super musée de dioramas sur l'histoire de la ville extraordinairement réalisé qui époustouflera les enfants et irons ensuite dans une super aire de jeux, regarder nos enfants glisser sur des toboggans biscornus pendant que nous dévorons des pop-corn (avant le repas : bravo!)

notre escorte (bon ! ça n'a rien de présidentiel, mais ... quand même !)

le musée : si vous regardez bien, les bonhommes du fond sont en peinture, ceux de devant sont des statuettes. C'est com' j'vous dis !!

Nous dormirons chez notre nouvel ami COPEC pour surfer une fois de plus !!

Du

1/04/06

Au

9/04/06

 

Ben dis donc, cette nuit la petite souris est passée !! Elle a apporté un coussin de grand à Estéban et a pris la sucette de Cléo et lui a offert une super figurine de Rescues Heroes. Incroyable. Cléo nous affirme avoir conversé avec cette dernière qui lui a même dit qu'elle s'appelait Zelmine et que c'était la copine de la petite souris qui trotte, trotte, trotte (cf. Anne Sylvestre).

Ils sont super content et la journée s'annonce plutôt bien. Nous arrivons à Lota, pauvre ville minière au sud de Concepcion. Un réel havre de paix ou règne un silence de mort, bercé par de grandes enceintes diffusant dans toute la féria une musique semi grégorienne contemporaine. C'est très surprenant, mais surtout terriblement agréable. Pendant que les trois hommes feront le tour de la féria, je me ferais de nouveau copine avec deux carabineros qui viendrons visiter Pica.

Nous irons ensuite faire la visite de la mine de charbon : extra. Au programme lampes, casques et compagnie, les enfants sont vraiment à l'aventure. Il fait tout noir, nous sommes à 50 mètres sous la mer, c'est la seule mine au monde à être immergée. Le guide est vraiment excellent et nous ne regrettons pas les 80 km de détour. (une vierge en charbon est sculptée dans l'une des églises, mais nous n'arriverons pas à mettre la main dessus ).

attente infernale, descente infernale (sécurité max), ouistitiiii ! , un travailleur : un vrai !

Les garçons nous font des blagues et nous racontent plein de bêtises car Maynine leur a rappelé que tout était permis le 1er Avril. En allant se coucher Estéban nous dit : "imaginez que la terre c'est une poche, eh bien je vous aime tout ce qu'il y a dedans". Avant d'aller au lit c'est toujours sympa !

Nous nous lèverons très tôt dimanche (10h30) pour une journée carrément farniente. Comme à notre habitude nous dormirons chez COPEC et écouterons toute la soirée RTL2 que du bonheur !!

bataille matinale, bis, no coment, bis, certains parmi nous sont accros à internet ?!? non ?

Nous ne serons pas bien plus vifs lundi et nous arrêterons tôt à Linares. Le temps de réparer les vélos des cocos et nous  voici avec deux titis très heureux qui passent l'après-midi à jouer aux jeux du village et faire des ballades en vélo.

Nous irons le lendemain visiter des caves (J. Bouchon) mais resterons raisonnable (de toutes façons, il n'y a pas de dégustation au Chili !). Le gérant a fait une formation d'oeunologie en France. Tout le raisin est traité dans de grosses machines en fer, par contre le vin vieilli dans des tonneaux en bois de France.

Visite d'une cave

Il y a la possibilité de dormir agréablement à la Estancia de Los Lingues (peut-être est-ce trop bruyant en été ? au mois d'Avril c'est très calme !)

Nous arriverons à Santiago en fin de semaine. La visite avec le chirurgien est reportée à Lundi car il est parti pour un congrès de dernière minute en Italie. Nous visiterons le zoo, le centre ville et les alentours (San José de Maipo) et n'aurons pas de problème particulier pour nous garer (COPEC prunto, en face de l'ambassade mais surtout devant la maternelle de l'école française derrière la rue Pasteur (avec gardien et policier pour la nuit : très calme le week-end) ...).

visite du zoo, animal typique : mara, statue dans Santiago, repos à San José de Maipo, lever de lune

pas mal la brochette !!

En attendant de revenir à Santiago, nous faisons, le dimanche, "une journée à l'envers" tout va dans tous les sens ce jour là !! Nos repas commencent par le dessert, nous ferons le petit déjeuner le soir et auront (pour l'occasion) le plaisir de regarder un Goldorak le matin avec le repas. Les enfants gardent un bon souvenir de cette journée farfelue et nous ont demandés d'en faire d'autres.

Du

10/04/06

Au

14/04/06

Que c'est marrant !! Nous voici aujourd'hui, lundi et nous nous dirigeons vers la clinica las Condes.

Nous n'arrivons pas à voir le docteur qui s'est occupé de moi et demandons donc auprès de l'anesthésiste qui parlait couramment français. Francisco arrive et nous annonce que mon cher et tendre Andrez a eu un accident de moto ce week-end lors de son voyage en Europe et s'est fait opéré en rentrant hier soir. Nous allons donc faire une visite surprise dans sa chambre et échangeons pour l'occasion les rôles :

Début octobre 2005, lundi 10 Avril 2006

Andrez nous propose de s'occuper de moi, mais il faut bien entendu attendre une semaine qu'il se remette de sa fracture. Nous nous dirigeons donc dès le mardi vers Valparaiso et dormirons devant la mer à Laguna Verde (charmant village sur pilotis au calme et tranquillité incroyables : même les chiens semblent absents !) où, au grand plaisir des enfants, nous jouerons tous les quatre au contrebandiers et au douaniers : soirée délire, ils ont un sourire indécrochable.

Pour ce qui est de mercredi, nous visiterons Valparaiso avec un guide qui parle couramment le Français (les garçons parlent non stop). Nous sommes complètement charmés, comparé à Vina del mar, qui n'est pas du tout à notre goût (ville bruyante, pleine du building et sans intérêt où nous passerons sans nous arrêter. Nuit à Concon près de la plage avec, comme d'habitude, concerto en "os" mineur des chiens du quartier)

Valparaiso aux maisons suicidaires.

Valparaiso aux rues colorées.

Valparaiso en sécurité.

Valparaiso aux maisons restaurées.

 

Estéban : "Maman, c'est la première fois de toute ma vie que je vois des vrais pélicans !!" 

Maman : "Oui chéri, moi aussi, il y a juste 25 ans d'écart entre toi et moi mais bon !!"

pélicans vu à Concon

Du

15/04/06

Au

18/04/06

Nous retournerons le vendredi soir à Laguna Verde pour passer la soirée, après avoir fait le bord de côte du nord Vina del Mar au sud Valparaiso. Pascal rencontre sur la plage une famille sympathique qui lui dit, avant de partir "nous viendrons demain pour vous inviter à manger" . Nous verrons demain ! En attendant, je lis un livre aux enfants pendant que Pascal nous prépare un SUPER riz cantonais (je pense qu'il sera mis devant les fourneaux plus souvent !!)

Réveil "surprise". Cette nuit, alors que j'avais malencontreusement laissé le finestrou ouvert, les petits lapins sont venus nous rendre visite. C'est l'excitation totale dans le camion. "Maman, il y en a dans tes chaussures", "moi j'en ai dans mon lit", "et moi ils m'ont apporté un spider man", "oui, moi aussi j'en ai un" ... Les chocolats se sont infiltrés partout dans la maison et pica se lèche déjà les pares chocs de tout ce qui va être abandonné ou renversé dans son intérieur !!

blague très connue que les garçons ont voulu reproduire :

"j'ai mal aux fesses", "qu'est ce que tu dis, j'entends rien !!"

Nous nous préparons et allons sur la plage où le programme est simple : farniente, batailles entre garçons, trous pour se cacher dans le sable ... Sur le coup de midi, alors que je regarde ma montre en me disant qu'il va être temps d'aller préparer le repas, la camionnette de nos amis chiliens débarque sur le parking. Ils ne sont venus que pour nous et s'empressent de nous inviter pour le déjeuner. Nous les suivons avec joie. Au menu empanadas (les garçons sont ravis !). Lorsque nous arrivons chez eux, les femmes sont aux fourneaux en pleine préparation des mets et les hommes préparent le feu. Quelle leçon de cuisine pour nous ! Estéban nous demande de bien regarder pour que nous puissions en faire à la maison .... Heu, oui, pourquoi pas !? Nous mangeons comme des ogres et repartirons de chez eux avec .... des empanadas : nous sommes repus et ne pourrons plus manger pendant 4 ou 5 jours, c'est sur !

Ils est surprenant de discuter avec eux et d'apprendre qu'ils étaient persuadés que nous ne viendrons pas alors que de notre côté, nous pensions qu'ils ne maintiendraient pas leur invitations. Nous sommes donc tous ravis.

laguna verde ...

leçon d'empanadas ...

Fin de journée à la plage. Les néné se sont super bien tenu et nous sommes contents de leur façon de grandir ! Estéban pose des questions sur tout et remarque tous les détails de tout partout (ex : "c'est quoi un cratère ?, papa, comment ils font les gens pour retrouver des pierres des gens d'avant et savoir que c'était des armes...). Il commence à lire correctement et est très fier chaque fois qu'il lit un mot tout seul. Cléo, lui, imite son frère et les singes : nous n'avons plus qu'à l'inscrire dans une école de cirque en rentrant !!

Nous testerons durant la nuit notre trompette (à commande déportée au lit) sur des jeunes, sortis de boite de nuit et un peu "borachos". La ruse est fort efficace et ils ne tarderons pas à partir !

Au petit matin, nous irons avec les enfants sur la plage alors que Pascal se lancera aux petites réparations de Pica.

Nous aurons le plaisir de retrouver nos amis venus de chez eux pour nous offrir des fruits. Nous passerons encore un long moment sur la plage avant de faire la "photo de famille" que nous leur offrons avant de partir.

dans l'ordre

Martin, mama, papi, mami, Maria, Laetitia, Pascal, Janette, Gonzalo, Estéban, Ramon, Estéban et Cléo

Retour pour Santiago dans la soirée, après un détour chez COPEC prunto (com'd'hab !!)

Aujourd'hui, nous nous réconcilions vraiment avec le chili.

Depuis nos malheurs d'entrée dans le pays tout va beaucoup mieux. Spontanément, les gens nous aident à nous repérer dans les villes et n'hésitent pas à prendre leur véhicule pour nous accompagner, le paysage ensoleillé est agréable (pas époustouflant), des policiers sympas qui nous aident, nous escortent, parfois des sourires, souvent de l'étonnement, mais toujours ......................... des chiens qui hurlent la nuit.

Du

19/04/06

Au

Les enfants irons pour la première fois à l'école depuis quatre mois et ils sont ravis. Pour Cléo la journée a été un peu longue, mais Estéban lui en redemande. Lorsque nous viendrons les chercher, les maîtresses nous demandent de les avoir un deuxième jour. Pour nous c'est vraiment un chance inespérée. Je me fais opérer mercredi, nous profiterons donc de les mettre ce jour là. (les photos des enfants sont interdites, nous ne prendrons en tout que 4 clichés : une avec la maîtresse, une avec les escargots de la classe et les tortues d'eau et en fin une avec les directeurs de l'établissement ci-dessous)

Nous remercions très chaleureusement l'équipe enseignante de l'école maternelle française qui s'est vraiment bien occupée de nos enfants. L'accueil y est très agréable et Françoise, la directrice, très à l'écoute des gens. Un grand merci.

Françoise et Serge (directrice adjointe de la maternelle, directeur du primaire)

17 h : Cléo après une journée d'école tombe comme une masse sur la table.

(Aujourd'hui, nous venons de comprendre que notre vitre n'a pas été fracturée pour rien (un mois après il serait temps !!) Nous avions à l'avant du véhicule, une sacoche qui ressemble étrangement à un étui d'ordinateur. A l'intérieur il y avait nos déclarations d'impôt, des courriers pour les mêmes déclarations, les modes d'emploi de nos appareils photo et caméra, les carnets de routes de nos amis ayant déjà fait le tout de l'Amérique du Sud... Nous sommes contents qu'il n'ai pris que cela, mais râlons un peu : nous nous étions fait à l'idée qu'il ne nous avait rien dérobé !!)

(Pascal ne se sent plus, cela fait 3 personnes qui lui demandent s'il est Espagnol tellement son parlé est bon : ça va les chevilles ?)

Et hop !! 150 grammes en moins en 45 minutes. Voici la raison de mes maux de dos. Aujourd'hui ce n'est pas la grande forme car l'opération a été difficile mais dans une semaine il n'y paraîtra rien ! (attention à ceux qui vont dire que j'ai une sale tête au réveil ! ça va flisquer !!) :

Décollage de Santiago :

 

Bienvenue en Argentine : Carnet 8 ...

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